Dans la dernière chronique de son magazine dématérialisé made in USA, Taki le Grec disserte sur le dernier sujet à la mode : l’IA ou intelligence artificielle, une parmi les nombreuses branches de la robotique, ou de l’automatique, ou de l’informatique, ou des mathématiques appliquées. Cet article est flou, mais Taki est un littéraire et non un ingénieur. Ce n’est pas la pire des situations, car il pourrait être médecin comme Laurent Alexandre le Petit, ou pire encore, pharmacien comme Jacques Servier. Taki est un plaisantin (joker en globish) qui se vante d’être le plus grand écrivain grec depuis Homère, alors que tout le monde sait qu’Homère n’a jamais rien écrit, puisque son oeuvre était une tradition orale.
Cette oeuvre d’autopromotion satisfaite contient une fidèle description du stade artisanal de la rédaction de discours par un prête-plume (en globish : ghostwriter), minuscule compilateur social-traître des grands anciens. Une pincée de Gambetta, une grosse louche de Clémenceau, une cuiller à soupe de Jaurès, et le tour est joué. Une bonne photocopieuse, une paire de ciseaux et un tube de colle suffisent pour rentrer à l’académie.
Mais cette méthode était seulement valable dans les années 1983-84. Dans cette époque de vieux dinosaures, cons comme des balais, c’était open bar pour les gauchistes, tous moustachus comme Régine Debray ou Edwina Plenel ou Erika Orsolla, suivant ainsi l’exemple de leur mentor, le célèbre Plekszy-Gladz,
L’informatique a fait des progrès gigantesques, dans le logiciel comme dans le matériel, depuis le règne insolite du pharaon M. le maudit, bâtisseur d’une minuscule et laide pyramide, petit-fils d’un vinaigrier de Bourges, quai d’Auron, et surnommé le Rastignac de la Nièvre par le Général. Donc, les ingénieurs vont pouvoir industrialiser toute cette petite production littéraire stérile, artisanale et forcément répétitive, puisque la nature humaine est assez stable, et les grandes questions sans réponse, éternelles. Etre ou ne pas être ? Rester ou partir ? Croire ou ne pas croire ? Lutter ou fuir ? Soumission ou rebellion ? Altruisme ou egoïsme ? Plaisir ou souffrance ? Bonne ou mauvaise rencontre ? Evolution ou révolution ? Jouer ou travailler ? Faire ou faire faire (en globish : make or buy) ? Fromage ou dessert ? Boire ou conduire (N. Sansu) ? Pepsi ou Coca ? Local ou global ? Bordeaux ou Bourgogne ? Pouilly-sur-Loire ou Quincy ?
Par contre, un exemple de faux problème facilement résoluble est : Valérie, la journaliste pute, ou Julie, la saltimbanque salope ? Dis-moi qui tu baises, social-traître ! Alors, je saurai comment tu finiras ! Alexandre Soljenitsyne a bien expliqué la méthode de survie au goulag : Phase 1 : identification des traîtres. Phase 2 : liquidation des traîtres. La vérité se lit en creux : Hollande ne cite jamais Soljenitsyne, et ce pourri massonnik-ta-pute-de-mère d’Onfray, non plus. Il faut laisser les morts enterrer les morts, et donc laissons Hollande enterrer le filozof Jean Jaurès ! Une chose est sûre : Hollande ne sera jamais un transfuge de classe comme le Cardinal Mazarin, ou Vauban, ou le duc de Lauzun, ou Casanova, ou le tsar de Russie Vladimir Vladimirovitch Poutine. Le duc de Lauzun, beau-frère de Saint Simon, ami d’enfance de Louis XIV, était un être spécial, une sorte de phénomène. Il terrorisait tous les courtisans car il ne craignait rien ni personne, et la plus riche héritière du royaume, cousine du Roi, était folle de lui. Ensuite les choses se sont légérement gâtées….. Hollande est né petit-bourgeois, et il crévera aussi petit-bourgeois et ignoble ! Aussi sûr que 2 et 2 font 4.
Le Rabouilleur reviendra sur le sujet de l’IA plus tard, éventuellement. S’il n’a pas autre chose de plus utile ou de plus agréable à faire. Et si Dieu le veut.
Sara Connasse n’est pas là !
,
Publié dansactualité, sciences|Commentaires fermés sur Intelligence artificielle
Une très belle fiction de sous-marin soviétique qui finit bien, avec une bonne ambiance de camaraderie virile, qui ne plaira donc pas au public féminin.
Le capitaine Ramius, c’est moi ! dira un homme, mais pas une femme, ou alors c’est une camionneuse de la Sécurité Civile, au visage hideux, aux lèvres minces et cruelles, et au regard de dingue ……
Dites-moi, docteur Ernesto Che Guevara : êtes-vous médecin ou curé ?
Les deux, lieutenant Nemo !
Erreur docteur ! Ni l’un, ni l’autre ! Vous n’êtes qu’un dangereux charlatan. Sapeur Camember, arrêtez-moi ce nuisible ! Ensuite, embarquez-le dans le premier avion en partance pour la Bolivie !
Avec plaisir, mon lieutenant.
Quand vous ne pouvez pas résoudre un problème, exportez-le !
Publié danspolitique|Commentaires fermés sur Blouse blanche ou soutane ?
Hector Poivrot était inspecteur au SRPJ d’Orléans sous la direction du fameux commissaire San Bitonio qui lui avait appris toutes les ficelles du métier d’enquéteur judiciaire. Mais Hector avait un oncle d’Amérique, le très riche chimiste Durand de Nevers, inventeur de la poudre d’escampette sans fumée, qui mourut sans autre héritier qu’Hector. Grâce à cet héritage providentiel, Hector put démissionner de la police pour devenir œnologue à Quincy dans le Berry. En effet, il préferait étudier la fermentation alcoolique à la campagne plutôt que la fermentation des esprits criminels à la ville, ce qui peut se défendre avec un bon avocat. D’autre part, Hector Poivrot possède un flair exceptionnel, qualité absolument nécessaire dans son nouveau métier. Ses petites cellules nasales sont tellement sensibles que ses collègues du SRPJ l’avaient surnommé Totor le renifleur.
Il a pour voisin à Quincy son vieil ami, le capitaine Achille de Bouvines, officier du Génie à la retraite. Hector Poivrot a aussi embauché comme cuisinière et gouvernante Mademoiselle Clémentine, native de Mehun-sur-Yèvre. Mademoiselle Clémentine est un véritable cordon bleu qui excelle dans la blanquette de veau à l’ancienne, mais elle interdit formellement à Hector l’accès à sa cuisine, son domaine réservé, une chambre jaune comme à Giverny chez Monet. Ce que femme veut, Dieu le veut.
Hector a invité son ami Achille à venir déguster un plateau de fruits de mer arrosé du vin blanc local, et à se livrer à une petite joute verbale, par la même occasion. Les deux compères se mettent à discuter de l’affaire criminelle du moment : la disparition mystérieuse d’une infirmière de Jarnac-les-Mines, mariée à un plaquiste très malchanceux et fanfaron.
Hector Poivrot explique au capitaine de Bouvines : – J’ai un grand principe dans mes enquêtes, à savoir que la vérité se lit en creux. Le capitaine lui répond : – Cette affirmation est trop générale. Soyez plus spécifique, Poivrot, et donnez-moi un exemple !
– J’ai un bon exemple à vous soumettre : le suicide du financier Lev Davidovitch Madogenberg, dont vous avez certainement entendu parler. – Difficile de faire autrement ! Comme tous les Gaulois réfractaires, j’en ai entendu causer dans le fenéstron, où les journalistes, cette lie de l’humanité, jacassaient en boucle à propos de cette affaire sordide, avec une grande gestuelle apprise dans un cours de media-training, le pire exemple étant ce vicieux de Darius Dustbin. La justice a tranché pour un suicide, et j’ai toute confiance dans la justice de mon pays. Les juges sont des gens clairvoyants, intègres et au dessus de tout soupçon, puisque tous les journalistes l’écrivent. D’ailleurs, s’ils ne l’écrivaient pas, alors les juges d’insruction ne leur donneraient plus les informations nécessaires pour pisser leurs copies, et ils devraient changer de métier. C’est élémentaire, mon cher Poivrot ! – J’ai participé à l’enquête sur le suicide de Madogenberg avec le commissaire San Bitonio. Le suicidé s’était brûlé la cervelle avec un pistolet qui se trouvait encore dans sa main droite, ce qui posait problème à mon chef. – Quel problème ? Expliquez-vous, Poivrot ! Où est le problème ? Where iz ze problem ? – Le problème résidait dans le fait objectif que Madogenberg était gaucher. Ensuite, un test à la paraffine sur la paume des deux mains a montré l’absence de traces de poudre. Cette absence a permis à mon chef vénéré, le commissaire divisionnaire San Bitonio, de réfuter par ce creux la thèse du suicide. La démonstration était tellement claire que même son adjoint en fut convaincu, à savoir le très épais inspecteur Berruyer, originaire de Bourges, comme vous pouvez vous en douter, capitaine.
Hector Poivrot continue sur sa lancée avec cette question pour Achille de Bouvines :
– Connaissez-vous le rasoir d’Occam, capitaine ? – Vous insultez mon intelligence, Poivrot ! J’appartiens à l’arme du Génie, tout de même, tout comme le sapeur Camember et le maréchal Vauban, ce n’est pas rien. Le rasoir d’Occam est un argument qui vient du chamane Grec Empédocle qui dit que l’explication la plus simple est presque toujours la bonne. – Aussi, on pourrait en déduire qu’un suspect qui n’avoue rien peut ne rien savoir, ce qui serait l’explication la plus simple. A la condition qu’il soit sain d’esprit. Par un heureux hasard, le rapport du psychologue a fuité dans la presse de caniveau, malgré le secret de l’instruction. Croyez-vous au secret de l’instruction, capitaine ? – Bien sûr que j’y crois, Poivrot ! Je suis un honnête citoyen, et j’y crois autant qu’aux valeurs mystérieuses et sacrées de la Ripoublique bourgeoise. Je crois surtout que Jean-Jacques Rousseau était naturellement bon à rien, et que la société de madame de Warens l’a corrompu, et j’ajouterai, de manière irréversible, à cause de la jeunesse immature de ce très beau et robuste gigolo, sous emprise de cette couguar très lubrique et très riche. C’était un secret de Polichinelle que Jean-Jacques était un fou en liberté. Ce taré était né dans les fers de la république théocratique et calviniste de Genève, et il vivait en liberté au Royaume de France dans le parc d’Ermenonville, ce qui ne l’empéchait nullement de se victimiser; de vouloir vainement se justifier, de grincer des dents et de se lamenter, comme un très vulgaire Riton, duc de Sussex. Il faut dire les choses telles qu’elles se présentent.
Hector Poivrot rebondit dans la discussion, tel un marsupilami : Mais le rasoir d’Occam n’est pas enseigné à la faculté de droit, malheureusement, faculté d’où sortent tous ces juristes misérables et sclérosés comme les démoniaques francs-maçons Eric de Zeppelin, le procureur retraité et sénile qui écrivait des chroniques politicardes dans le Berry Ripoublicain et le bavard ancien maire de Mehun sur Yèvre, véritable erreur de la nature. Et voici un argument supplémentaire. Dans le fond du cloaque juridique, on trouve aussi l’ancien procureur général Philippe Bilger de Paris qui éructe dans les gazettes : le fond est fumeux, et la forme est plus qu’insupportable par sa lourdeur. Ce que Bilger conçoit mal s’énonce très obscurément. Souhaitons juste que revive le Grand Siècle en France ! Il ne reste plus à cette vieille pourriture de Bilger qu’à pondre un livre pour rejoindre l’Académie Française où il retrouvera des pointures du même calibre, comme Alain Finkel-Bullshit, le nègre et petit copiste Orsenna, écrivain puant et social-traître, Ruffin, médecin immonde et Berruyer, sans oublier la dernière recrue : le juriste très venimeux Sureau. Ce procureur retraité de Bilger n’est qu’un roquet qui aboie beaucoup mais n’a pas de dents, et ses maîtres occultes le savent bien. Le juriste Bilger et ses semblables comme l’abject Sureau aboient, et la caravane passe.
Et je pourrais aussi vous raconter des anecdotes sur un autre académicien du Berry, Jean-François Deniau, petit politicien mais grand imposteur, idole des vieilles et riches rombières de l’Extrême-centre. Il suffisait de jeter un coup d’oeil dans sa permanence électorale de la rue d’Auron à Bourges pour le vérifier.Cette permanence était peuplée de copies provinciales de la repoussante mémère Bernadette Chirac de Paris. Cette insignifiante baudruche pleine de vents de Deniau décampa du Berry après une ultime pantalonnade, bien digne d’un énarque : la traversée de l’Atlantique en navigateur solitaire et EN MEME TEMPS accompagné d’un skipper appointé. Cette farce grotésque mit un terme définitif à la carrière politique de cet énarque infect et puant. Ce branleur de compétition ne foutait rien dans le palais du Duc Jean, et toute la basse besogne était expédiée par sa créature, un préfet retraité et cumulard, le dégoutant Camille Michel. Ces deux vieux débris rejouaient le Muppet Show des Rosbifs en Berry. La pièce aurait pu plaire, à la condition qu’elle ne fût point payée par les impôts des contribuables du Haut-Berry. Comme le dit l’Evangile de Saint Matthieu, un arbre se juge à ses fruits, et l’inspecteur des phynances Deniau n’a jamais donné aucun fruit, à part des mots, des mots, des mots. Words, words, words ! Encore un disciple du filozof Jaurès et de son ministère de la parole, parole, parole !
Mademoiselle Clémentine, intéressée par la discussion, vient s’inviter dans le débat. Brusquement, Hector Poivrot lui dit : – Vous allez retourner dans votre cuisine, et pour une bonne raison ! – Et laquelle, s’il vous plait ? – J’ai très soif à force de parler, et vous avez oublié d’apporter le tire-bouchon de votre cuisine interdite ! Comment voulez-vous que j’ouvre cette dive bouteille qui me nargue ? Je vous le demande !
Mademoiselle Clémentine revient vite de son domaine réservé avec le précieux tire-bouchon. La bouteille de Quincy ouverte, et le vin étant servi et dégusté, Hector peut maintenant expliquer à ses deux auditeurs sa théorie : celle du troisième homme, basée sur des considérations psychologiques. Vous avez tous les deux lu dans la presse l’histoire mystérieuse de la disparition inexpliquée de l’infirmière Daphné épouse en instance de divorce avec son mari Albéric. Ce couple était un exemple typique d’amoureux d’enfance qui n’étaient pas faits pour vivre ensemble et fonder une famille, comme cela arrive trop souvent. Mais cela n’est pas une raison suffisante pour en arriver aux dernières extrémités, et le mari n’a pas d’antécédents de comportement violent, à part quelques provocations plus ou moins appuyées envers le voisinage. En dernier lieu, il était inscrit sur un site de rencontres sur la Toile, ce qui tendrait à prouver qu’il avait tourné la page de son mariage pour passer à autre chose. Mais si un innocent croupit en prison par la faute d’un juge aussi ambitieux qu’imbécile, alors le coupable, une personne brillante, excellente calculatrice et au sang aussi froid que celui d’un serpent, court toujours, ce me semble, et il peut récidiver, à tout instant.
Mademoiselle Clémentine approuve sans réserve Hector : A Mehun-sur-Yèvre, nous avons connu une histoire semblable avec la Marie et le Jeannot, fous amoureux l’un de l’autre depuis leur jeunesse, mais qui ne sont jamais mariés à cause de leurs parents, ce qui ne les a nullement empéché de faire ensemble une forte et grande gamine aux yeux bleus. Et je vais vous raconter maintenant comment et pourquoi cela fut possible ……
La suite, pour un autre jour, ou la prochaine nuit, comme dirait Shéhérazade ….
Midnight Express ou L’Express de minuit
Film réalisé par Alan Parker, sorti en 1978 C’est du brutal, déconseillé aux âmes sensibles.
Max : The best thing to do is to get your ass out of here. Best way that you can. Billy Hayes : Yeah, but how ? Max : Catch the midnight express. Billy Hayes : But what’s that ? Max : [rire] Well it’s not a train. It’s a prison word for… escape. But it doesn’t stop around here.
L’Express de minuit va peut-être s’arrêter bientôt pour embarquer Albéric, le plaquiste plaqué et malchanceux, et néanmoins très résilient, comme les faits l’ont prouvé. Qui peut savoir ? Les horaires de ce train sont impénétrables ! Comme la stratégie de tarification des billets de la SNCF !
La loco de l’Express de minuit
Publié dansactualité|Commentaires fermés sur Hector Poivrot détective et œnologue
L’analyse de La bête humaine permet de déterminer ses deux composantes principales, la première, physique et thermodynamique, la seconde, médicale. En effet, on trouve dans le roman une locomotive à vapeur, la Lison, machine thermique peu efficace brûlant du charbon, et le conducteur de cette machine, Jacques Lantier, qui souffre d’une addiction carabinée et parfaitement démontrée à l’alcool éthylique ou éthanol, de formule chimique développée CH3-CH2-OH.
Il y avait une chimie avant Lavoisier, et il y a maintenant une chimie après Lavoisier. C’est bien mieux après ! En effet, Lavoisier a expliqué le phénomène de combustion du charbon, et déterminé par la même occasion la composition de l’air ambiant, soit approximativement 20% d’oxygène et 80% d’azote, de la vapeur d’eau, plus du CO2, ou dioxyde de carbone au taux de 0,4 pour 1000, gaz utile pour nourrir les végétaux et une Suédoise : l’affreuse, timbrée et manipulée Greta Thune-Berg. Ensuite, l’analyse plus poussée de l’air a permis d’isoler les gaz rares, comme l’hélium, le néon, l’argon, voire le radon, élément radio-actif, libéré par les roches granitiques, comme dans la péninsule maudite habitée par les Bretons et les Bretonnes.
Tout est nouveau sous le soleil de la chimie de Lavoisier, quoiqu’en dise l’Ecclésiaste, vraisemblablement un médecin en fin de carrière, et totalement désabusé. Tout s’explique. Dans la chimie de Lavoisier, l’énergie et la masse se conservent toujours, mais elles se transforment, alors que dans la médecine le patient ne se conserve jamais, puisqu’il finit toujours par mourir, y compris les transhumanistes comme ce crétin scientiste de Yuval Harari, très beau spécimen de singe savant connaissant et pratiquant moult grimaces. Mais avec un peu de chance et beaucoup d’énergie, le patient meurt en bonne santé, bien après son Diafoirus, ou sa Diafoireuse, une certaine Agnès B., parisienne, incompétente, aveugle, sourde, bavarde, paralytique, imbécile, et donc très dangereuse.
L’Ecclésiaste écrit : il n’y a que la foi qui sauve. Le biochimiste lui répond : les antibiotiques, aussi ! Pour la bonne et simple raison, que mon père serait mort d’infection bien avant ma conception, sans un antibiotique. Une bonne ou une mauvaise chose : qui peut savoir ? Comme Solon d’Athènes le disait à Crésus, roi de Lydie : il faut attendre la fin d’une histoire avant d’en juger. Rira bien qui rira le dernier, et ce sera peut-être votre puissant voisin, Cyrus l’Achéménide, roi des Perses. Le biochimiste ajoute : et pour les antibiotiques, il ne faut pas en abuser, sinon gare aux infections nosocomiales.
Zola, c’est fini ! Et bien fini. La locomotive à vapeur a été remisée au musée des antiquités ferroviaires, avec le wagon de fret isolé, un objet d’études passionnantes, géométriques et algébriques, et par voie de conséquence, les gares de triage. Elle est désormais remplacée par des locomotives électriques ou diesel, pourvues d’une meilleure efficacité energétique. Aucun effort musculaire n’est plus nécessaire. Il suffit de tourner un potentiomètre, et basta ! Quand au conducteur, il doit passer tous les ans une visite médicale avec prise de sang, et vraisemblablement une analyse d’urine, comme pour les cyclistes professionnels, et pas seulement pour le diabète. Comprenne qui pourrra. Si les prélévements montrent une présomption d’addiction, le conducteur est mis à pied à titre conservatoire, puis envoyé en cure de désintoxication, aux frais de la princesse SNCF.
Dans le centre de cure, le cheminot va apprendre à connaître la directrice de la stratégie SNCF de désintoxication, médecin salarié et absolument pas libéral, une Khazare dénommée Rosetta Luxembourg, femme monolithique et énigmatique qui peut se déchiffrer ainsi : autiste, individualiste, vraiment laide, assez diplômée, fortement pistonnée, très bête, et surtout très disciplinée.
Bonne chance, mon ami ! Good luck, my friend !
Rien n’est simple, tout se complique. Emile Zola est certes mort, dans des circonstances plus que suspectes, et enterré par les laïcards au Panthéon, mais il a produit post mortem un clone triste : Cloud Lebecq. Il faut TOUJOURS préférer l’original à la pâle copie. C’est un fait expérimental que le mauvais livre chasse le bon, comme le mauvais remake chasse le bon film, l’exemple parfait étant L’emmerdeur d’Édouard Molinaro. Ce phénomène n’est possible qu’à cause de la pernicieuse influence des attachées de presse parisiennes et de leurs laquais, les journalistes recenseurs de la presse et du fénestron, et maintenant, les trolls mercenaires de la Toile.
Les affaires sont les affaires, et l’obsolescence programmée se pratique aussi dans l’édition. Mais les bonnes affaires de Perla Pimpin la Parisienne ne font pas les bonnes affaires de madame Michu du Berry. En effet, le bon original s’emprunte gratuitement à la bibliothèque municipale, de Bourges, comme de Châteauroux, alors que la mauvaise copie s’achète à un prix éhonté et injustifié.
A Bourges : La bête humaine / Zola Zola, Émile (1840-1902). Auteur Edité par Flammarion. Paris – 2007 Médiathèque Adultes Romans R ZOL En rayon Livres
CQFD. Quod Erat Demonsdrandum.
Anéantir économiquement l’ignoble Cloud Lebecq : un pur, très sain et bien innocent plaisir ! Ce très vieux singe peu savant est déjà bien assez riche, suffisamment pour se payer les faveurs de femmes de petite vertu et de gros cadeaux, son seul but dans l’existence. Place aux jeunes !
Psychofoutaises magazine est une publication mensuelle fondée par un gommeux issu d’une longue lignée de scribouillards, tous sociaux-démocrates, tous atlantistes, donc tous moralement suspects, pour rester poli et politiquement correct, tous doués pour la parlotte, et tous moins que sous-doués pour les travaux pratiques. Un membre très représentatif de cette grande tribu était un Diafoirus psychiatre qui se vantait dans un livre de guérir le cancer avec de la salade de tomates, sortant sans aucun scrupule de son petit domaine de petite compétence. Avec un succès thérapeutique plus que mitigé, comme le lecteur ou la lectrice l’admettra aisément. La terre ne ment pas, la génétique non plus. Au moins depuis le moine tout à fait catholique Grégoire Mendel (1822-1884), religieux, et, en même temps scientifique.
Le Rabouilleur avait soumis un projet d’article à Psychofoutaises magazine sur le thème du totem, vaste sujet abordé sans aucun tabou, et sans faire de quartiers, comme d’habitude.
Article refusé par la rédactrice en chef, la poudrée et célèbre Perla Pimpin, avec une parfaite mauvaise foi, malgré le tarif très honnête et très raisonnable demandé par le Rabouilleur de seulement 2.718.281 fifrelins, bien inférieur au tarif des diarrhées verbales du raseur Alain Finkel-Bullshit, et plus encore d’un publi-reportage du professeur Jean-Paul Sheïtana, ou d’un tissu de poncifs du psychiatre André Chrysostome, suppôt d’Hippocrate célèbre pour être en même temps parfaitement bien-veillant et totalement endormi, le grand spécialiste Français, voire européen, du sommeil paradoxal. Mais il vaut mieux s’abstenir de tirer sur les ambulances : les garde-malades resteront toujours indispensables pour s’occuper des incurables. Ensuite, le paradoxe d’André Chrysostome se résoud facilement, car il ne dort que d’un oeil, mais le bon. Un oeil grand ouvert, l’autre grand fermé : la chanson n’est pas la même que chez son confrère de Vienne (Autriche), Arthur Schnitzler (1862-1931).
Donc cet article est disponible ici et maintenant, hic et nunc, en libre accès totalement gratuit sur ce site bien famé.
Totem
Les psychologues, recyclant une très vieille tradition chamanique, aiment bien attribuer un animal totémique à chacune de leurs pratiques, ou plutôt victimes.
Les scouts font la même chose en affublant leurs membres d’un totem. Pour l’hérétique de la RPR Michel Rocard, ce fut hamster érudit. Blaireau bavard eut été plus adéquat.
Le Rabouilleur a rencontré un psychologue Breton dans un séminaire de la Force (de Vente), et ce psychologue lui attribua le totem de caméléon, animal feignant, furtif et fourbe, doté d’un grande langue, et expert en camouflage.
Le Rabouilleur ne trouva pas le totem bien vendeur. En proie au doute méthodique de René Descartes, il décida d’obtenir une confirmation du diagnostic du psychologue Breton auprès d’une voyante Berrichonne de Mehun-sur-Yèvre (Cher), qui pratiquait la divination dans le pastis Marseillais.
Tel Ulysse aux mille ruses descendant aux Enfers pour consulter Tirésias, le Rabouilleur prit rendez-vous avec la devineresse, et mit le cap sur Mehun-sur-Yèvre, patelin paumé du Berry profond, et par ailleurs détestable nid de frelons massoniks, à commencer par le maire de ce bourg malsain. L’antre de la voyante avait tout pour rebuter l’homme de goût : c’était une médiocre bicoque cachée au fond d’une allée et pourvue d’un jardin très mal entretenu. Le jardin de la bicoque possédait également une sortie de secours par l’arrière vers une ruelle de dégagement, pour le cas assez fréquent où des clients justement mécontents venaient pour régler leurs comptes, suite à une mauvaise prestation de la voyante.
Le Rabouilleur remercia la Pythie Berrichonne en ces termes : Ah ! Comme c’est beau la Science ! Vraiment, je ne regrette pas mes soixante euros.
foudre
Post-scriptum du 28 janvier 2023 Service après-vente et retour d’expérience.
Le Rabouilleur parle dans ce billet des lèvres minces et cruelles de la Pythie Berrichonne, lèvres buccales bien sûr. Abracadabra ! Action et réaction ! Le Rabouilleur agit, et les petites marchandes du temple de Vénus réagissent. Réagir reste bien leur seule ressource, leur créativité étant nulle et non avenue. Cette grande prostituée de madame Figaro publie ce jour un article sur les méthodes empiriques et louches des Diafoirus et Diafoireuses pour obtenir des lèvres pulpeuses. Cet article n’est rien d’autre que de la publicité déguisée et très mal maquillée, le comble du mauvais goût pour une escorte-girl, qui a troqué son prénom très commun de Sylvie contre celui plus précieux et ridicule d’Anne-Gaëlle. Bonjour et adieu à la déontologie ! Rien n’arrête la marchandisation de la séduction, à part le budget de la séductrice, tout sauf illimité, Dieu soit loué ! Quand on voit le résultat sur Emmanuelle Béart, place au doute méthodique ! Et dans le doute, abstiens-toi !
Scorpion : In cauda venenum
Publié dansBerry, psy|Taguéculture, femme|Commentaires fermés sur Psychofoutaises