La bête humaine
Roman d’Emile Zola, publié en 1890.
L’analyse de La bête humaine permet de déterminer ses deux composantes principales, la première, physique et thermodynamique, la seconde, médicale. En effet, on trouve dans le roman une locomotive à vapeur, la Lison, machine thermique peu efficace brûlant du charbon, et le conducteur de cette machine, Jacques Lantier, qui souffre d’une addiction carabinée et parfaitement démontrée à l’alcool éthylique ou éthanol, de formule chimique développée CH3-CH2-OH.
Il y avait une chimie avant Lavoisier, et il y a maintenant une chimie après Lavoisier. C’est bien mieux après ! En effet, Lavoisier a expliqué le phénomène de combustion du charbon, et déterminé par la même occasion la composition de l’air ambiant, soit approximativement 20% d’oxygène et 80% d’azote, plus du CO2, ou dioxyde de carbone au taux de 0,4 pour 1000, gaz utile pour nourrir les végétaux et une Suédoise : l’affreuse, timbrée et manipulée Greta Thune-Berg. Ensuite, l’analyse plus poussée de l’air a permis d’isoler les gaz rares, comme l’hélium, le néon, l’argon, voire le radon, élément radio-actif, libéré par les roches granitiques, comme dans la péninsule maudite habitée par les Bretons et les Bretonnes.
Tout est nouveau sous le soleil de la chimie de Lavoisier, quoiqu’en dise l’Ecclésiaste, vraisemblablement un médecin en fin de carrière, et totalement désabusé.
Tout s’explique.
Dans la chimie de Lavoisier, l’énergie et la masse se conservent toujours, mais elles se transforment, alors que dans la médecine le patient ne se conserve jamais, puisqu’il finit toujours par mourir, y compris les transhumanistes comme ce crétin scientiste de Yuval Harari, très beau spécimen de singe savant connaissant et pratiquant moult grimaces. Mais avec un peu de chance et beaucoup d’énergie, le patient meurt en bonne santé, bien après son Diafoirus, ou sa Diafoireuse, une certaine Agnès B., parisienne, incompétente, aveugle, sourde, bavarde, paralytique, imbécile, et donc très dangereuse.
L’Ecclésiaste écrit : il n’y a que la foi qui sauve.
Le biochimiste lui répond : les antibiotiques, aussi !
Pour la bonne et simple raison, que mon père serait mort d’infection bien avant ma conception, sans un antibiotique. Une bonne ou une mauvaise chose : qui peut savoir ? Comme Solon d’Athènes le disait à Crésus, roi de Lydie : il faut attendre la fin d’une histoire avant d’en juger. Rira bien qui rira le dernier, et ce sera peut-être votre puissant voisin, Cyrus l’Achéménide, roi des Perses.
Le biochimiste ajoute : et pour les antibiotiques, il ne faut pas en abuser, sinon gare aux infections nosocomiales.
Zola, c’est fini ! Et bien fini.
La locomotive à vapeur a été remisée au musée des antiquités ferroviaires, avec le wagon de fret isolé, un objet d’études passionnantes, géométriques et algébriques, et par voie de conséquence, les gares de triage. Elle est désormais remplacée par des locomotives électriques ou diesel, pourvues d’une meilleure efficacité energétique. Aucun effort musculaire n’est plus nécessaire. Il suffit de tourner un potentiomètre, et basta !
Quand au conducteur, il doit passer tous les ans une visite médicale avec prise de sang, et vraisemblablement une analyse d’urine, comme pour les cyclistes professionnels, et pas seulement pour le diabète. Comprenne qui pourrra. Si les prélévements montrent une présomption d’addiction, le conducteur est mis à pied à titre conservatoire, puis envoyé en cure de désintoxication, aux frais de la princesse SNCF.
Dans le centre de cure, le cheminot va apprendre à connaître la directrice de la stratégie SNCF de désintoxication, médecin salarié et absolument pas libéral, une Khazare dénommée Rosetta Luxembourg, femme monolithique et énigmatique qui peut se déchiffrer ainsi : autiste, individualiste, vraiment laide, assez diplômée, fortement pistonnée, très bête, et surtout très disciplinée.
Bonne chance, mon ami !
Good luck, my friend !
Rien n’est simple, tout se complique.
Emile Zola est certes mort, dans des circonstances plus que suspectes, et enterré par les laïcards au Panthéon, mais il a produit post mortem un clone triste : Cloud Lebecq.
Il faut TOUJOURS préférer l’original à la pâle copie.
C’est un fait expérimental que le mauvais livre chasse le bon, comme le mauvais remake chasse le bon film, l’exemple parfait étant L’emmerdeur d’Édouard Molinaro. Ce phénomène n’est possible qu’à cause de la pernicieuse influence des attachées de presse parisiennes et de leurs laquais, les journalistes recenseurs de la presse et du fénestron, et maintenant, les trolls mercenaires de la Toile.
Les affaires sont les affaires, et l’obsolescence programmée se pratique aussi dans l’édition.
Mais les bonnes affaires de Perla Pimpin la Parisienne ne font pas les bonnes affaires de madame Michu du Berry. En effet, le bon original s’emprunte gratuitement à la bibliothèque municipale, de Bourges, comme de Châteauroux, alors que la mauvaise copie s’achète à un prix éhonté et injustifié.
Preuves formelles et irréfutables à l’appui :
A Châteauroux :
https://mediatheque.ville-chateauroux.fr/detail-d-une-notice/notice/171637-3603
A Bourges :
La bête humaine / Zola Zola, Émile (1840-1902). Auteur Edité par Flammarion. Paris – 2007 Médiathèque Adultes Romans R ZOL En rayon Livres
CQFD. Quod Erat Demonsdrandum.
Anéantir économiquement l’ignoble Cloud Lebecq : un pur, très sain et bien innocent plaisir !
Ce très vieux singe peu savant est déjà bien assez riche, suffisamment pour se payer les faveurs de femmes de petite vertu et de gros cadeaux, son seul but dans l’existence.
Place aux jeunes !