Le Génie et la déesse

Sarzay (Indre)

Le Génie et la déesse
Auteur : Aldous Huxley (1894–1963)
Roman initiatique de jeunesse publié en 1955 à l’age de 61 ans après une longue digestion.

Service après-vente sur l’article Voltaire-Goethe-Huxley.

Thémistocle Merlinopoulos, alias Témi, critique l’indifférence du Rabouilleur dans son magazine dématérialisé sur la Toile.

Sure, everyone’s in a sentimental mood these days regarding Jimmy Carter; dude’s wife died, and the man himself has reached “stage-4 Biden” on the dementia scale.

Question démence sénile, Témi, né en 1936, parait largement plus qualifié que le Rabouilleur de plus de vingt ans son cadet.
Le Rabouilleur n’est pas non plus un protestant baptiste, et il ne cultive pas des cacahouètes avec une armée d’hilotes.
Il ne cultive pas non plus des feuilles de chou avec une bande de sept mercenaires de l’Anglo-saxonie, tous plus ou moins alcooliques, et plus ou moins doués.

La vérité se lit en creux, une fois de plus.
Témi ne parle jamais de ses folles soirées dans la Nouvelle Babylone avec le Donald, l’atout des Yankees.
Plus vicieux que le Donald, tu meurs !
Ou alors, tu es Katherine Pancol, la cosmopolite mais pas trop.
Cosmopolitan, ma non troppo !
Pour preuve irréfutable, le très petit Cosmos de la Pancol se réduit à la Nouvelle-Angleterre, ou New-England en globish. Manhattan, les Hampton, les îles de Martha’s Vineyard et Nantucket, et surtout Salem et ses célèbres, cafouilleuses, ineptes et inefficaces sorcières, peut-être intoxiquées par de l’ergot de seigle.
Comme c’est bête !
La Pancol se proclame citoyenne du monde, mais en réalité, surtout citoyenne de la Nouvelle Babylone, sa nouvelle patrie, non de cœur, mais de ventre, car il faut bien que cette scribouillarde aille à la gamelle.
Cette pipoteuse chante les louanges de la Nouvelle-Angoulême sur tous les tons.
Oups ! Mon erreur ! C’est la Nouvelle-Amsterdam. Oups ! Nouvelle erreur ! Enfin bref ! C’est la Nouvelle York !
Cette Pancol arbore sa ceinture dorée et ses belles bottes jaunes, bien plantées dans le fumier, sans aucune honte.
C’est quoi la honte ? Voilà une question qu’elle est bonne, Kathy !
Panpan sur la Pancol, parce qu’elle le vaut bien ! Peu précieuse, mais bien ridicule !

Ah ! Ah ! Ah ! Je ris de me voir si belle en ce miroir aux alouettes !
Les femmes ne seront jamais les égales des hommes. Elles sont meilleures ou pires.
Bingo ! Carton plein pour la Pancol !
Il faut néanmoins créditer la Pancol d’avoir abordé avec justesse un vrai sujet dans son roman Les yeux jaunes des crocodiles : le plagiat d’une belle création pour une vicieuse et abjecte profiteuse.
Le Rabouilleur n’a pas lu le roman bien sûr, son temps étant trop précieux et ses projets trop nombreux. Mais il a visionné l’adaptation au cinéma avec plaisir puisque le film ne dure que 2 heures, une durée bien moins longue que la lecture de l’original. La chute est nulle et invraisemblable, mais la relation toxique mère/fille est superbement décrite. On reconnait des expériences vécues, et pas seulement par l’auteur. La sororité sort bien fracassée de ce roman, comme la fraternité sort bien fracassée du roman La Rabouilleuse de Balzac.

D’après une source toujours bien informée et désintéressée, une attachée de presse qui a souhaité rester glorieusement anonyme, la Pancol préparerait un nouvel opus. Ce nouveau pensum, intitulé Les malheurs de Sapho, serait largement inspirés par les méfaits de la perverse et peu regrettée Simone de Beauvoir, avec dedans du gazon bien maudit, du sang, de la sueur, beaucoup de larmes, mais zéro foutre, bien sûr ! Affaire à suivre ….

Vas-y Kathy ! Lâche prise !
Comme te le dit ton gourou ! Ou El Gringo Jacques Vabre, un de tes innombrables psychiatres incompétents ! Ou ton Mentor ! Ou ton Diafoirus psychothérapeute ! Ou ton chamane Durakuir de Los Angeles ! Ou Mini-Nico ton maître à mal penser ! Ou mieux encore, ton coach !

Et mon clito ? Tu l’aimes mon clito ?
Ton clito est parfaitement banal. J’en ai rien à foutre de ton clito.
Par contre, tes vilaines grosses lèvres sont laides au possible. Je t’informe que la vulvoplastie n’a pas été créée que pour les chiennes avec des oreilles de cocker.
Ensuite, tes canines pointues, ton lifting raté, tes yeux vitreux de dingue, tes cheveux ternes, et surtout ton haleine d’alcoolique bien chargée en acétone font vraiment peur, et c’est la débandade assurée !

Voici la disponibilité du roman autobiographique d’Huxley sur le site marchand fnac.com

Le Génie et la déesse
Date de parution
mai 1986
Éditeur
Pocket Collection
Pocket Format
11cm x 18cm

Ce produit n’est plus en vente.
C’est comme pour la Poétique d’Aristote dans le roman Le Nom de la rose d’Umberto Eco.

Tous pourris, tous maudits dans le trop petit monde du Livre.

Vive la vieille France !

En route vers de nouveaux horizons

Parle à mes réacteurs ! Ma tête chercheuse est déjà ailleurs !
La vérité est ailleurs !
Mais où ?

A propos Le Rabouilleur

J'aime les belles femmes et le bon vin, mais dans la modération.
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